A Toulouse, la statue de Bourdelle rappelle le sacrifice de milliers de sportifs de Midi-Pyrénées pendant la Grande Guerre, notamment celui d'Alfred Mayssonnié, premier international du Stade Toulousain avec qui il avait gagné en 1912 le premier Bouclier de Brennus du club, abattu sur les champs de bataille de la Marne en 1914.
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Dans les Landes, en pays gascon, la Chapelle Notre-Dame du Rugby, oeuvre de l'abbé-chapelain Michel DEVERT, est le lieu symbolique de pélerinage et de recueillement du rugby français qui reçoit plus de 12000 visiteurs par an.
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Plus que millénaire, la prestigieuse cité mariale de Rocamadour, halte incontournable sur les Chemin de St Jacques de Compostelle classée au Patrimoine mondial de l'Unesco, héberge le long de son escalier monumental (qu'au moyen-âge les pélerins montaient à genoux), huit chapelles prestigieuses, dont la fameuse Chapelle Saint-Louis qui depuis 2011 est consacrée à Notre-Dame d'Ovalie ...
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Au temps des pionniers à la fin du XIXe siècle, la naissance d'un trophée légendaire, portant le nom illustre d'un chef gaulois belliqueux et guerrier, mais prosaïquement conçu et réalisé avant la première finale du championnat de France en 1892 par deux personnages illustres, dont l'un, visionnaire, a posé les principes du sport moderne.et refondé l'épreuve universelle la plus populaire, les Jeux Olympiques..
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La pandémie de COVID 19 s'est heureusement éloignée, les stades ont retrouvé leur public et leur passion !
Mais elle a laissé de lourdes séquelles : le Championnat australien, NRC, pourtant récent, n'aura pas résisté à l'épreuve et a déjà disparu. Le prestigieux championnat anglais, la "PREMIERSHIP", est durablement perturbé et a perdu trois clubs majeurs : les WASPS, les WORCESTER WARRIORS et les LONDON IRISH, exclus pour raisons financières. Pour la saison 2023/2024, le club vainqueur de RFU CHAMPIONSHIP n'étant pas autorisé à accéder à l'échelon supérieur faute de garanties suffisantes, la "Championship", dont les projets prévoyaient l'expansion à 14 clubs, se limite à dix cette saison. Une nouvelle réforme est en gestation pour la prochaine !
Compétition | Vainqueurs | ||
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Coupe du monde 2023 |
Afrique-du-Sud | ||
Tournoi des 6 Nations 2024 |
Irlande | ||
EPCR Champions Cup 2023 |
Stade Rochelais | ||
EPCR Challenge Cup 2023 |
Rugby Club Toulonnais |
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Gallagher PremierShip 2023 |
Saracens | ||
RFU Championship 2023 |
Jersey Reds | ||
Top 14 Orange 2023 |
Stade Toulousain | ||
Pro D2 Orange 2023 |
Oyonnax | ||
United Rugby Championship 2023 |
Munster |
NADAU, le poète béarnais a su magnifiquement traduire la nostalgie de l'enfance qui s'attache aux débuts du jeune rugbyman, à l'émotion qui le submerge lors de ses premiers pas en école de rugby, dans ce poème, Taus uelhs de Loïsa, qu'il a dédié à l'inimitable pilier de la SECTION PALOISE, Pierre TRIEP-CAPDEVILLE :
Carrière terminée, c'est le texte nostalgique de la chanson "Le Dimanche à 15 heures", composée en 1977 par Eric PLATEL, ancien joueur, dirigeant et éducateur du RC VINCENNES, qui s'impose. Elle est considérée comme le témoignage le plus abouti, profond et sensible sur les vertus du rugby amateur français, ce "rugby des villages, des clochers, du terroir", qui constitue l'une des composantes de la civilisation occitane tant il est aujourd'hui l'une des valeurs consubstantielles de cette culture populaire de tradition, radieuse de jeunesse et de bien vivre.
Un site est consacré à cette chanson, (vous pouvez y retrouver les paroles) dont l'auteur a offert les droits à la Fondation Albert Ferrasse, qui vient en aide aux grands blessés du rugby sous l'égide de la Fondation de France.
Vous pouvez retrouver Eric PLATEL sur des reportages télévisés, comme celui que lui a consacré l'émissioln RENCONTRES A XV sur FR2.
Chanson emblématique du rugby amateur français
En cette soirée du 28 octobre 2023, les "lampions" de la Fête viennent de s'éteindre ; à part pour les sud-africains victorieux, rentrés au pays afin de fêter leur victoire dans un délirant barnum aux allures composites de "triomphe romain du Général victorieux" et de "campagne électorale présidentielle en faveur de l'ANC", le Tournoi 2023 laisse un goût d'amertume au fond de la gorge : les conditions matérielles, climatiques et l'enthousiasme d'un public jeune, joyeux, actif et bariolé offraient le cadre d'une épreuve exceptionnelle, dont l'intérêt s'étiola après les quarts de finale, douché par la pratique d'un jeu de "dépossession", négatif, étroit et sans autre objectif que celui du résultat, favorisé par un arbitrage qui privilégia l'équipe pratiquant le jeu le plus fermé et sans émotion, l'amenant jusqu'au titre avec un écart minimum d'un point lors des trois dernières rencontres éliminatoires, acquises sur des pénalités contestables et contestées.
L'organisateur WORLDRUGBY venant de publier les premiers chiffres, il est temps de tirer un premier bilan de cette grande compétition mondialisée :
Alors que l'organisation était très avancée, que les poules du tour préliminaire de la compétition étaient officiellement constituées depuis le 14.12.2020 , que les championnats régionaux qualificatifs aux dernières places battaient leur plein, WORLDRUGBY adopta d'importantes réformes relatives aux règles d’éligibilité des joueurs en équipes nationales, mais aussi à l'organisation de l'épreuve elle-même :
Ces modifications tardives, sources de confusion et d'inéquité, illustrent la souplesse et l'inégalité des règles de WORLDRUGBY : autant elles sont souples, adaptables sur mesure et bienveillantes à l'intérêt des nations les plus influentes au sein de l'institution internationale qui les modifient et les modèlent en fonction de leurs intérêts partisans, autant elles sont strictes, inflexibles et impitoyables à l'encontre des nations moins puissantes. Ainsi, l'ESPAGNE qui avait gagné sa place à la Coupe du Monde 2023 par ses victoires sur le terrain, fut disqualifiée par l'instance internationale au motif qu'avait été sélectionné dans son équipe nationale un joueur de nationalité sud-africaine, Gavin Van-den-Berg, qui avait bien - lors de ses sélections - une présence de 36 mois en Espagne, mais l'avait interrompu pendant la période noire de COVID et l'arrêt des compétitions pour rejoindre sa famille en AFRIQUE-du-SUD !
ELIGIBILITE DES JOUEURS EN EQUIPES NATIONALES
Autant dire que les joueurs des Îles indépendantes du Pacifique, (réservoir habituel de la Nouvelle-Zélande et l'Australie pour la composition de leur équipe nationale) pourraient - pour des raisons économiques - continuer à opérer au sein de ces équipes de premier plan, avant de rejoindre leur équipe nationale de cœur et représenter leur propre pays en fin de carrière !
Cette demande de dérogation apparaissait d'autant plus logique et fondée qu'un principe général fondamental du droit français édicte qu'en matière de rétroactivité de la loi, c'est la loi la plus douce qui doit s'appliquer, et que MEAFOU aurait du en bénéficier. Mais sans aller jusqu'à évoquer ce principe légal , il correspondait à la jurisprudence de WORLDRUGBY lui-même : un cas similaire a eu lieu en Nouvelle-Zélande avec le demi-de-mêlée Folau Fakatava, natif des Tonga mais qui a pu jouer avec les All Blacks. Ce dernier était dans le même cas de figure que Meafou et avait bénéficié de cette dérogation !
Bel exemple de sportivité et de "valeurs du rugby" pour des nations où le nationalisme exacerbé l'emporte sur tout autre valeur !
ORGANISATION DE LA COMPETITION
Arbitres | Arbitres assistants | Arbitres vidéo | Total | |
---|---|---|---|---|
Afrique-du-Sud | Jaco Peyper | Marius Jonker | 2 | |
Angleterre | Wayne Barnes Matthew Carley Karl Dickson Luke Pearce |
Christophe Ridley Brett Cronan |
Tom Foley | 7 |
Australie | Nic Berry Angus Gardner |
Jordan Way | 3 | |
France | Mathieu Raynal | Pierre Brousset | 2 | |
Georgie | Nika Amashukeli | 1 | ||
Irlande | Andrew Brace | Chris Busby | Brian MacNeice Joy Neville |
4 |
Pays-de-Galles | Craig Evan | Ben Whitehouse | 2 | |
Italie | Andrea Piardi | 1 | ||
Nouvelle-Zélande | Ben O’Keeffe Paul William |
James Doleman | Brendon Pickeril | 4 |
Comment ne pas regretter une représentation hégémonique écrasante au sein des commissions de WORLDRUGBY de certaines fédérations, alors que ni leurs résultats sportifs dans les épreuves nationales, continentales ou internationales, et moins encore leur réussite économique, ne sauraient en justifier ? Pourquoi un tel déficit d'arbitres d'une nation dont le championnat, économiquement le plus prospère et extrêmement populaire, est réputé le plus difficile du monde ?
Il y a toujours de bonnes raisons, et cette fois l'explication fournie était que les meilleurs arbitres français ne sont que semi-professionnels, alors que la commission d'arbitrage désigne des professionnels ; pourquoi les recommandations de la fédération préconisent-elles que les quatre arbitres d'une rencontre (arbitre central, deux arbitres touche et TMO) ne doivent pas être de même nationalité et que par exemple les quatre "référées" d'Afrique-du-Sud / France étaient tous néo-zélandais (O'KEEFE arbitre principal, assisté de WILLIAM et DOLEMAN, avec PICKERILL tmo) ; alors que le corps arbitral pour la finale était entièrement composé d'anglais ?
Aucun incident notable n'est à relever, dans des stades remplis à guichets fermés, dans une ambiance chaude et fervente, animée côté français par les hymnes classiques que sont devenus "LA PENA BAIONA", "DANS LES YEUX D'EMILIE" ou "LA GOFFA LOLITA" tels que popularisés par les bandas du Sud-Ouest, ou le magnifique "ZOMBIE" des supporters irlandais.
Toujours bienveillante, la presse progressiste subventionnée avec l'argent public a tenu cependant à donner son avis et créer le "buzz" indispensable pour critiquer l'organisation d'un tournoi, dont elle considère les supporters comme membres "de l'extrême droite", racistes, machos, avinés, homophobes et incultes
ou bien cette interception désespérée d'Eben ETZEBETH projetant un avant un ballon alors que l'essai est imparable et qu'il ne reste plus aucun défenseur ; dans une réaction incompréhensible, Ben O'KEEFFE rejette l'appel de l'arbitre vidéo qui lui signale la faute et refuse le contrôle vidéo de la faute
Si le génie d'aucun joueur ne parvint à enflammer les esprits ou susciter l'enthousiasme des enfants, ressort de ce Tournoi la faillite globale de l'arbitrage, notamment l'arbitre néo-zélandais Ben O'KEEFFE, qui restera le grand homme de l'édition 2023.
Ce jeune arbitre, extrêmement ouvert, humain et sympathique a rapidement taillé sa route dans la profession par sa réputation de laisser jouer, et sa propension à favoriser un jeu vif, rapide et limpide, sans trop le hacher par des interventions tatillonnes.
Mais il avait face à lui un "staff" sud-africain madré et habile dans l'art d'exercer une pression psychologique sur l'arbitrage : par des campagnes ciblées avant les rencontres, conclues par des campagnes de destruction massives sur les réseaux sociaux s'il n'avait pas obtenu satisfaction de ses exigences. Durant la semaine avant la rencontre de 1/4 de finale contre la FRANCE, le Directeur Rassie ERASMUS ne cessa de répéter lors de chacune de ses conférences de presse le danger que constituait pour son équipe l'arbitrage en général favorable au pays hôte (il devait faire allusion à l'arbitrage scandaleux en faveur de son pays en 1995 !), accusa les joueurs français de jouer la comédie en se roulant par terre, ou bien de se comporter en "pleureuses" auprès de l'arbitre en ne cessant de se plaindre des fautes non sanctionnées de l'adversaire. Provocateur né, il avait été suspendu par WORLDRUGBY après la publication sur les réseaux sociaux d'une vidéo où il mettait en cause l'honnêteté de l'arbitrage de l'australien Nick BERRY lors de la rencontre entre les LIONS BRITANNIQUES et les SPRINGBOKS ; dés son retour de bannissement, il avait immédiatement réitéré en diffusant quatre nouvelles vidéos mettant en cause l'arbitrage de Wayne BARNES lors du test-match perdu par son équipe contre la FRANCE.
Et c'est bien par ces agressions gratuites et systématiquement réitérées contre l'arbitrage qu'il a certainement remporté, après celle de 2019, la Coupe du Monde 2023. Pour ses talents de manipulateur, il vient de reprendre la haute main sur l'équipe sud-africaine, en étant à nouveau nommé "sélectionneur" par l'ANC, poste qu'il n'avait jamais quitté d'ailleurs bien que prenant le nom de "Directeur du Rugby" entre les titres de 2019 - 2023. C'est donc du haut de sa grandeur et de son trône pontifical retrouvé qu'il insulte désormais grossièrement tout journaliste qui critique ses options de jeu ! Bel exemple en effet pour celui qui vise désormais un troisième titre mondial d'affilée ; et beaucoup d'espoir pour le prochain Tournoi mondial de 2027 en AUSTRALIE : par la crainte inspirée aux arbitres, sera-t-il marqué lui aussi par un arbitrage incohérent, ne pénalisant pas la pression exercée par un jeu de "dépossession", une défense sud-africaine agressive en perpétuelle limite de hors-jeu et des manoeuvres illicites de retardement de sortie du ballon adverse sur les phases de rucks ?
De l'avis général cette épreuve a été ternie par deux facteurs qui ont nui à sa portée et sa réussite : un jeu de dépossession, terne, triste, ennuyeux, sans ambition lors de sa phase finale, favorisé par un arbitrage inéquitable qui a déterminé, plus que le combat régulier des hommes sur le terrain, le vainqueur de l'épreuve.
Plutôt que glisser ce problème sous le tapis au nom du sacro-saint principe "l'arbitre a toujours raison", peut-être serait-il pertinent d'essayer d'en analyser les causes pour y remédier lors des prochaines épreuves.
Cette "Coupe du Monde", bien que de création récente (1987) comporte désormais assez de recul pour en mesurer l'évolution.
En préambule, regrettons le déséquilibre qui règne dans la représentation des nations constitutives au sein de son organigramme : l'ancien INTERNATIONAL RUGBY BOARD (IRB), désormais renommée WORLDRUGBY, qui gouverne le jeu de rugby, son organisation, ses règles, sa discipline et toutes les épreuves internationales disputées par des équipes nationales, est censé représenter l'émanation élective de toutes les fédérations ; il est dirigé par un Comité Exécutif de 11 membres, assisté de commissions, des sortes de Ministère, qui ont chacun en charge un secteur de l'activité (Commission Audit & Risque, Commission Rugby Professionnel, Commission Régionale, Commission des Règlements, Commission Rugby de la Base, Commission Consultative Antidopage, Commission de Rugby masculin Haute Performance, Commission de Rugby féminin Haute Performance, Commission de rugby à VII Haute Performance, Commission des athlètes de rugby, Commission consultative des Ligues professionnelles, Commission Consultative pour le Rugby féminin).
Au vu de la liste des membres du Comité Exécutif et des membres des commissions, cette représentation n'est pas équilibrée : comment ne pas remarquer une représentation hégémonique au sein des commissions de WORLDRUGBY de certaines fédérations, alors que ni leurs résultats sportifs dans les épreuves nationales, continentales ou internationales, ni leur réussite économique ou populaire, ne sauraient le justifier ? Pourquoi un tel déficit d'arbitres d'une nation dont le championnat, économiquement le plus prospère et extrêmement populaire, est réputé le plus difficile du monde ? Ce qui nous ramène aux problèmes d'arbitrage rencontrés lors de cette épreuve :
Si l'histoire ne revêt de sens que sur la longue durée, après dix coupes du monde et quarante ans d'expérience, constatons objectivement que neuf sur les dix furent remportées par des représentants de l'hémisphère sud, une seule par l'hémisphère nord ; que si certaines le furent de manière indiscutable, beaucoup d'autres le furent dans des conditions moralement et sportivement critiquables ; sans vouloir être exhaustif, pour n'évoquer que la France :
Même s'il n'est pas, et de très loin, le sport le plus populaire du pays (par le nombre de ses pratiquants, il n'arrive qu'en 9ème position, largement devancé par le football (qui occupe le devant de la scène internationale), le tennis, le basket-ball (2ème aux jeux olympiques de TOKYO, tiré par des locomotives d'exception comme Tony Parker, ou présentement Victor Wembanyama), d'équitation (nombreux titres olympiques), le judo et sports de combat (nombreux titres olympiques, champion olympique par équipe devant le Japon à Tokyo), le handball (champion olympique masculin et féminin aux JO TOKYO), le golf et la natation (nombreux titres également) et doit faire face à la concurrence du cyclisme (traditionnellement bien implanté avec le prestigieux Tour de France), le volley-ball (titre Olympique à Tokyo), il n'en constitue pas moins le sport collectif le plus populaire dans la moitié sud de la France, ataviquement et indissolublement lié à la population qui le considère comme partie intégrante de sa façon de vivre ancestrale, au même titre que l'art culinaire, l'accent chantant ou le bonheur de vivre).
Les pressions médiatique et politiques sont donc fortes pour qu'il dégage également une "locomotive" pour tirer ce sport sur le devant de la scène, à l'instar de ses rivaux, dont il tirera les bénéfices ; mais la maîtrise de cet outil est délicate, traître, pleine de dangers et de chausse-trappes, et beaucoup se brûlent les ailes à vouloir jouer avec : depuis que le rugby français, dans l'ombre de son nouveau gourou Antoine DUPONT et du charismatique ancien Président toulonnais, le trublion Mourad BOUJELLAL, s'égare dans le "wokisme" délirant et le "communautarisme électoral", prenant désormais parti lors de chaque scrutin national contre les mouvements "dits" d'"extrême droite", joue les chauffeurs de salle dans les meetings électoraux présidentiels, ou signe avec constance des pétitions en faveur d'un vote progressiste, le "rugby des villages" tant apprécié est entraîné sur la piste glissante de ce marais mouvant putride, paraissant fréquemment de manière univoque aux côtés de l'ancien Président François HOLLANDE - invité permanent, avec sa "camarilla" de lèche-bottes - dans des émissions aussi glauques, politiquement et sexuellement orientées en direction de la minorité "woke" LGBTQIA+ que le QUOTIDIEN de BARTHES sur RMC, CLIQUE de l'islamiste Mouloud ACHOUR sur CANAL PLUS, et bien sûr toutes les émissions progressistes du service public audiovisuel et notamment "C'EST DANS L'AIR", "C'EST A VOUS" avec Patrick COHEN, "C CE SOIR" de Karim RISSOULI, ", "C POLITIQUE" ou "C MEDIATIQUE" de Catherine TARAVENT (l'épouse de RISSOULI), "C l'HEBDO", pour servir la soupe du clan progressiste, manipuler l'opinion publique en faisant l'apologie du "A LA FOIS " et du "EN MEME TEMPS" macronien.
Dans ces conditions, les valeurs traditionnelles du rugby, sport réputé de droite par MEDIAPART - LIBERATION - LE MONDE et le service public audiovisuel, sont caricaturées, bien que certains de ses axiomes, devenus "mantras", aient miraculeusement accédé au rang de paroles sacrées du Saint Evangile de la bienpensance, donc devenues aussi infaillibles que l'engagement "pro immigration" de l'antipape argentin, impossibles à commenter et plus encore à critiquer :
Et notamment celle-ci : "On peut dire qu'au rugby, il faut respecter les décisions de l'arbitre, que ce ne sont pas des surhommes et qu'ils sont faillibles !" (Florian GRILL, Président de la FFR).
C'est une lapalissade, alors autant se complaire dans cette facilité sémantique, dégoulinante de démagogie, puisqu'elle représente la forme caricaturale sous laquelle la presse progressiste subventionnée par les fonds publics déversés par le Ministère de la Culture et l'audiovisuel parisianiste et orienté sexuellement de service public prend plaisir à représenter le "rugby" et ses supporters "machos", "racistes", "avinés", "homophobes" et "incultes" ! Et accessoirement, de poser les questions qui pourraient froisser "WORLDRUGBY" !
Si la gestion est compliquée dans un pays tel que la France où le rugby, bien que populaire, est loin d'occuper le première place, qu'en est-il pour l'AFRIQUE-du-SUD, où ce statut prévaut, et qu'un responsable politique aussi prestigieux que Nelson MANDELA a élevé, au sortir de la période d'apartheid pour la Coupe du Monde 1995, au rang de cause nationale et ciment de la nation ; sachant à quel point ce pays est divisé entre une population noire d'anciens esclaves et colonisés (80,2% de la population), une minorité blanche (8,4%) qui avait imposé une politique d'apartheid, et une minorité de sangs mêlés (8,8% noirs, blancs, asiatiques), et d'indous (2,5% originaires du sous-continent indien) ; qui a la particularité unique d'avoir 11 langues officielles (Afrikaans, Anglais, Ndebele, Sotho du Nord, Sotho, Swazi, Tsonga, Tswana) et dont l'hymne national, interprété dans les compétitions internationales, est la combinaison des deux chants (Die Stem van Suid-Afrika, l'ancien hymne national sud-africain, avec Nkosi Sikelel' iAfrika, un chant liturgique populaire africain adopté par les mouvements anti-apartheid) et comporte des paroles dans les cinq langues les plus parlées du pays (le xhosa, le zoulou, le sesotho, l'afrikaans et l'anglais sur les onze officielles), quelle impossible étoile à atteindre pour de simples mortels !
Les violences intracommunautaires et inter-religieuses qui ensanglantent le pays (quoi qu'en disent et en pensent MANDELA et MACRON et les indécrottables BISOUNOURS qui veulent avoir foi en leurs promesses, elles prouvent qu'il est impossible de faire vivre ensemble des civilisations et cultures aussi disparates, qu'on les nomme "arc en ciel" ou "bleu, blanc, beur !") ; mais à considérer le rugby comme le liant d'union le plus solide du pays, et leur nationalisme comme point commun entre communautés mortellement opposées par leur histoire, comment ne pas se remémorer les excès (entraînés par une chaîne de commandement où chaque niveau en rajoute une couche par zèle envers son "chef") par l'exaltation de cette valeur à l'occasion de la Coupe du Monde 1995 et les pressions exercées sur l'organisateur pour que l'AFRIQUE DU SUD en sorte vainqueur (dopage à grande échelle ayant tué ou rendu paralytiques nombre de joueurs avant leurs 40 ans, corruption des arbitres (et des dirigeants de World Rugby ?), voire chantages sexuels auprès de leurs proches, menaces sur leurs familles et eux-mêmes, et autres et infinis coups bas dignes du KGB poutinien), et se poser la question de savoir si le Tournoi 2023 a été ou non le théâtre de pareilles manipulations, puisque cette question revêt l'importance de la raison d'Etat dans ce pays, une sorte de guerre de survie qui doit être impérativement gagnée.
D'ailleurs, le grand vainqueur de la compétition reste le Président sud-africain Cyril RAMAPHOSA, successeur à la tête du "Parti National Africain" et de l'Etat sud-africain de Nelson MANDELA, menacé en 2022 d'une procédure de destitution rejetée par le vote de l'ANC au Parlement de Pretoria, candidat à la réélection en avril 2024 avec de mauvais sondages en sa défaveur, qui "surfe", écrit la presse, sur la victoire des "Springboks" et effectue présentement avec l'équipe championne une tournée "électorale" triomphale auprès de toutes les communautés raciales du pays !
Alors oui, l'histoire gravée dans le marbre, retiendra que l'AFRIQUE-du-SUD est pour la quatrième fois vainqueur d'une Coupe du Monde, sans produire le moindre jeu sinon un jeu de "dépossession", une défense sauvage à la limite des hors-jeux et des fautes sur les rucks pour ralentir le jeu !
Mais est-ce la faute à l'AFRIQUE-du-SUD, dont on connaît, depuis 1995, la pression gouvernementale exercée, au nom de l'unité de la Nation, sur son "staff" et les joueur sélectionnés ; ou bien celle de WORLDRUGBY, l'organisateur, qui tolère depuis trop longtemps ces incroyables "immixtions", en acceptant dans ses rangs une nation qui rejette les règles internationales de l'antidopage, et cautionne des pratiques indignes, difficilement admissibles. Depuis la ROME ANTIQUE, tous les responsables savent que "PANEM ET CIRCENSES" sont le meilleur anesthésiant des colères populaires et la Police la plus efficace pour garantir le paix publique ; mais, à quel prix ? La FRANCE (en 2007 puis 2023), l'ANGLETERRE (en 2015) ont pourtant fait la démonstration qu'il était possible d'organiser, dignement et en respectant l'éthique sportive, une Coupe du Monde de Rugby. Il serait peut-être opportun que WORLDRUGBY, réagisse afin que les fédérations de l'hémisphère nord ne soient plus réduites au rang de "vache à lait" et "pompe à fric", en charge de fournir les financements à l'autre hémisphère, de prestigieux decorums et des spectateurs béats d'admiration devant les nationalismes politiquement exacerbés de rivaux peu scrupuleux, ivres de résultats internationaux au mépris du réalisme économique !. Dans ces conditions, il est miraculeux qu'une Coupe du Monde sur dix ait réussi à leur échapper ?.
Depuis 2004, à l'instar des prestigieuses cérémonies mondaines et ennuyeuses, telles les "César" du cinéma, les "Molières" du théâtre, les "Victoires" de la musique, ou, sur un modèle plus détendu et satirique les "Gérard" de la politique suivis du "Prix de l'Humour politique" (qui couronne les formules les plus déjantées et improbables de nos éminents technocrates énarchiques), la LIGUE NATIONALE de RUGBY, en collaboration avec PROVALE, le syndicat des joueurs professionnels, et TECH XV qui regroupe les Entraîneurs et Formateurs de rugby, organise la "NUIT DU RUGBY",
Depuis 2004, à l'instar des prestigieuses cérémonies mondaines et ennuyeuses, telles les "César" du cinéma, les "Molières" du théâtre, les "Victoires" de la musique, ou, sur un modèle plus détendu et satirique les "Gérard" de la politique suivis du "Prix de l'Humour politique" (qui couronne les formules les plus déjantées et improbables de nos éminents technocrates énarchiques), la LIGUE NATIONALE de RUGBY, en collaboration avec PROVALE, le syndicat des joueurs professionnels, et TECH XV qui regroupe les Entraîneurs et Formateurs de rugby, organise la "NUIT DU RUGBY"
Pour la FRANCE, les droits TV ont été acquis par le Groupe TF1 ; ce groupe est propriétaire de six chaînes qui émettent librement sur tous les réseaux disponibles. L'intégralité de toutes les rencontres sera donc retransmis ; si la chaîne TF1 se réserve la diffusion des matchs en soirée les plus porteurs, elle a sous-traité avec les groupes FRANCE TELEVISION et M6 la transmission des autres rencontres. On regrettera que le groupe CANAL PLUS, assurément le plus positif pour le rugby hexagonal, diffuseur du TOP 14 et de la PRO D2, qui offre de par son expérience la meilleure qualité et la plus riche créativité de réalisation, ainsi que les équipes de commentateurs les plus expérimentées et compétentes, ne figure pas au nombre des diffuseurs dont il est écarté au motif qu'il s'agit d'une chaîne payante.
date | Ville | Stade | heure | Equipes | Poule | Retransmission | ||
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vendredi 8 septembre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | France : 27 New Zealand : 13 |
A | |||
samedi 9 septembre | Saint-Etienne | Stade Geoffroy Guichard | 13:00 | Italie : 52 Namibie : 8 |
A | |||
samedi 9 septembre | Bordeaux | Stade Matmut-Atlantique | 15:30 | Irlande : 82 Roumanie : 8 |
B | |||
samedi 9 septembre | Saint-Denis | Stade de France | 18:00 | Australie : 35 Georgie : 15 |
C | |||
samedi 9 septembre | Marseille | Stade Vélodrome | 21:00 | Angleterre : 27 Argentine : 10 |
D | |||
dimanche 10 septembre | Toulouse | Stadium | 13:00 | Japon : 42 Chili : 12 |
D | |||
dimanche 10 septembre | Marseille | Stade Vélodrome | 17:45 | South Africa : 18 Scotland : 3 |
B | |||
dimanche 10 septembre | Bordeaux | Stade Matmut-Atlantique | 21:00 | Wales : 32 Fidji : 26 |
C | |||
jeudi 14 septembre | Lille | Stade Pierre Mauroy | 21:00 | France : 27 Uruguay : 12 |
A | |||
vendredi 15 septembre | Toulouse | Stadium | 21:00 | New Zealand : 71 Namibie : 3 |
A | |||
samedi 16 septembre | Bordeaux | Stade Matmut-Atlantique | 15:00 | Samoa : 43 Chili : 10 |
D | |||
samedi 16 septembre | Nice | Stade Allianz Riviera | 17:45 | Wales : 28 Portugal : 8 |
C | |||
samedi 16 septembre | Nantes | Stade de la Beaujoire | 21:00 | Irlande : 59 Tonga : 16 |
B | |||
dimanche 17 septembre | Bordeaux | Stade Matmut-Atlantique | 15:00 | South Africa : 76 Roumanie : 0 |
B | |||
dimanche 17 septembre | Saint-Etienne | Stade Geoffroy Guichard | 17:45 | Australie : 15 Fidji : 22 |
C | |||
dimanche 17 septembre | Nice | Stade Allianz-Riviera | 21:00 | Angleterre : 34 Japon : 12 |
D | |||
mercredi 20 septembre | Nice | Stade Allianz-Riviera | 17:45 | Italie : 38 Uruguay : 17 |
A | |||
jeudi 21 septembre | Marseille | Stade vélodrome | 21:00 | France : 96 Namibie : 0 |
A | |||
vendredi 22 septembre | Saint-Etienne | Stade Geoffroy Guichard | 17:45 | Argentine : 19 Samoa : 10 |
D | |||
samedi 23 septembre | Toulouse | Stadium | 14:00 | Georgie : 18 Portugal : 18 |
C | |||
samedi 23 septembre | Lille | Stade Pierre Mauroy | 17:45 | Angleterre : 71 Chili : 0 |
D | |||
samedi 23 septembre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | South Africa : 8 Irlande : 13 |
B | |||
dimanche 24 septembre | Nice | Allianz Riviera | 17:45 | Ecosse : 45 Tonga : 17 |
B | |||
dimanche 24 septembre | Lyon | Stade des Lumières | 21:00 | Wales : 40 Australie : 6 |
C | |||
mercredi 27 septembre | Lyon | Stade des Lumières | 17:45 |
Uruguay : 36 |
A | |||
jeudi 28 septembre | Toulouse | Stadium | 21:00 | Japon : 28 Samoa : 22 |
D | |||
vendredi 29 septembre | Lyon | Stade des Lumières | 21:00 | Nouvelle-Zélande : 96 Italie : 17 |
A | |||
samedi 30 septembre | Nantes | Stade de la Beaujoire | 15:00 | Argentine : 59 Chili : 5 |
D | |||
samedi 30 septembre | Bordeaux | Stade Matmut Atlantique | 17:45 | Fidji : 17 Georgie : 12 |
C | |||
samedi 30 septembre | Lille | Stade Pierre Mauroy | 21:00 | Ecosse : 84 Roumanie : 0 |
B | |||
dimanche 1 octobre | Saint-Etienne | Stade Geoffroy Guichard | 17:45 | Australie : 34 Portugal : 14 |
C | |||
dimanche 1 octobre | Marseille | Stade Vélodrome | 21:00 | Afrique-du-Sud : 49 Tonga : 18 |
B | |||
jeudi 5 octobre | Lyon | Stade des Lumières | 21:00 | New-Zealand: 73 Uruguay : 0 | A | |||
vendredi 6 octobre | Lyon | Stade des Lumières | 21:00 | France : 60 Italie : 7 |
A | |||
samedi 7 octobre | Nantes | Stade de la Beujoire | 15:00 | Pays-de-Galles : 43 Georgie : 19 |
C | |||
samedi 7 octobre | Lille | Stade Pierre Mauroy | 17:45 | Angleterre : 18 Samoa : 17 |
D | |||
samedi 7 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 |
Irlande : 36 |
B | |||
dimanche 8 octobre | Nantes | Stade de la Beaujoire | 13:00 | Japon : 29 Argentine : 37 |
D | |||
dimanche 8 octobre | Lille | Stade Pierre Mauroy | 17:45 | Tonga : 45 Roumanie : 24 |
B | |||
dimanche 8 octobre | Toulouse | Stadium | 21:00 | Fidji : 23 Portugal : 24 |
C | |||
1/4 finale | ||||||||
samedi 14 octobre | Marseille | Stade Vélodrome | 17:00 | Pays-de-Galles : 17 Argentine : 29 |
1/4 finale 1 | |||
samedi 14 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | Irlande : 24 Nouvelle-Zélande : 28 |
1/4 finale 2 | |||
dimanche 15 octobre | Marseille | Stade Vélodrome | 17:00 | Angleterre : 30 Fidji : 24 |
1/4 finale 3 | |||
dimanche 15 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | France : 28 South-Africa : 29 |
1/4 finale 4 | |||
1/2 finale | ||||||||
vendredi 20 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | Argentine : 6 Nlle Zélande : 44 |
1/2 finale | |||
samedi 21 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | South-Africa : 16 Angleterre : 15 |
1/2 finale | |||
Finales | ||||||||
vendredi 27 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | Argentine : 23 Angleterre : 26 |
3ème | |||
samedi 28 octobre | Saint-Denis | Stade de France | 21:00 | Nlle Zélande : 11 South Africa : 12 |